DIFFERENCES ENTRE LES TECHNIQUES D’IMPRESSION
Depuis le 15ème Siècle, des techniques d’impression ont été inventées en masse.
Le choix de chaque technique joue un rôle primordial dans le rendu final de vos projets.
Selon le support, selon la quantité de documents ou de l’objet à imprimer, la technique diffère.

La typographie
La plus ancienne développée par Johannes Gutenberg qui met au point le premier procédé industriel d’impression, EN 1450.
On peut enfin reproduire une même page en plusieurs exemplaires.
Elle reste à considérer comme le FONDEMENT de l’imprimerie.
L’impression Offset
Cette technique est préférable pour des impressions en grand nombre sur du papier.
Son principe de fonctionnement est simple.
Cette impression est basé sur la répulsion de l’eau et de la graisse de l’encre.
L’image est encrée sur une plaque de métal gravée. Qui va être le support imprimant pour les exemplaires à sortir.
Cette plaque est reportée sur un cylindre recouvert d’une feuille en caoutchouc.
Ce caoutchouc s’appelle un blanchet, à partir duquel l’encre est transférée sur le papier.
L’impression offset est utile pour l’impression de journaux principalement et n’importe quelles impressions sur papier en grandes séries



Offset press
L’impression numérique
Ici, l’impression est directement transféré d’un fichier numérique créé par ordinateur sur une imprimante.
Elle donne beaucoup d’opportunités puisqu’il n’y a aucune étape préliminaire à l’impression.
Cette technique directe évite de demander un minimum d’exemplaire et donc assure une certaine réactivité et souplesse à l’imprimeur pour la bonne réalisation de votre projet.
L’impression numérique évite la production en masse de déchets chimiques engendrée par les plaques d’impression.
C’est souvent l’impression que l’on va préféré pour les supports de communication textile et films PVC.
L’héliogravure
Cette technique est moins connue du grand public, elle est réservée aux grands tirages.
Avec une quantité supérieur à 300 000 exemplaires.
Principalement utilisée pour des impressions sur papier.
Elle peut également être appliquée sur des supports d’ emballage tel que du carton ou des emballages souples qui permettent d’être présentés sous forme de bobines.
L’image est donc transférée sur une plaque de cuivre en utilisant une gélatine photosensible.
C’est un procédé d’impression dit « en creux ».
C’est-à-dire que le cylindre en cuivre, gravé mécaniquement comporte des alvéoles par lesquelles les encres sont transférées directement sur le support.
Chaque alvéole détermine la trame qui sera plus ou moins dense, selon la profondeur et la taille de l’alvéole.
C’est ainsi qu’on peut varier l’intensité des couleurs.
L’héliogravure est réservée aux impressions de magazines populaires ou aux timbres-poste.
La Flexographie
Tout comme la typographie, ce procédé utilise une forme imprimante en relief et c’est un procédé d’impression directe.
La différence est que le support d’impression est souple.
Elle est réalisée en plastique ou en caoutchouc.
Cette technique relativement méconnue, est adaptée aux pellicules plastiques destinées à l’emballage.
Comme par exemple les suremballages plastiques ou encore les cartons.
Il n’y en a pas une à considérer meilleure que l’autre.
Le procédé est choisi en fonction de vos besoins, et donc de votre projet.
Faites confiance à l’imprimeur, il sait généralement de quoi il parle.
Toutes ses spécificités ne s’inventent pas, demandez conseil ! 😉
Textilez vous



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